Présentation


Est ici traité la méthode de déstructuration ambivalente, comme percevoir l’illumination des nuées du mal en épuisant le réel de ses apanages pernicieux. Il s’agit non pas de vaincre la souffrance endurée mais de remodeler l’expression de ses formes afin de faire miroiter les quintessences du songe romantique. Sans doute serait-il judicieux de rappeler que le concept originel romantique est une nouvelle forme d’appréhension du ressenti primaire. Nous désirons aussi indiquer que la salvation du mal viendra avec le mal et que toute nos tentative d’expropriation existerons à mesure que nous continuerons de former des modèles nécessaires. L’instrument épistolaire illuminera les substances du matériel sensible pour dénaturer l’imprécation de l’enfer et répandre dans les fleuves de l’existence toutes nos afflictions dans leur équanimité céleste. Délier, délacer, déconstruire le compacte de l’immersion cognitive et tenter de reformuler l’idéal extrême dans les ardeurs de notre temps, tel sont les objectifs à long terme de ce site dédié aux profondeurs du paradigme humain. Il nous faudra ainsi nous mouvoir dans le prisme des stances poétiques pour rendre compte des abîmes charnels où nous pourrons alors plonger vers ce monde d’absolu, la dépossession de nous même.

Aux sources de l'enfer

Aux sources de l'enfer

Un flambeau de folie


Il est des nuits où je sers si fort les draps dans mes mains que les vagues de l’étoffe me font plonger vers l’océan.

La violence n’est pas moins dans la suspensions statique que dans la brutalité du transfert. Je ne peux continuer à scinder les proportions de l’embrasement, l’enfer comme le paradis sont régies par des mutualismes. Toutes les folies véritables ne sont que coloriages des gravures passionnelles.
Etend toi sur le sol…la folie est une raie sur la mer. Nous contenons le trouble car voici la terreur dans une boule de cristal que je berce au bas de mon ventre. Seriez vous prêts à libérer le javelot de flammes pour vous transpercer le corps? Rien n’est moins difficile, une respiration de trop et nous pensons atteindre le foudroîment organique. Il n’y a aucune alternative à la torture. La folie réelle est moins le siège du dérèglement des instances de l’homéostasie qu’un rêve de surface plane s’étendant vers un système infini.. Il ne s’agit plus d’aller au devant, il ne s’agit plus d’aller plus haut mais de d’épouser gracieusement par nos formes le spectre dimensionnel qui nous est offert. Nous pensons léviter sur une lame de déréliction, un thaumaturge dans ces sables de solitude? Echapper au mal… un vol de miroirs dans les glaces de l’amour…

Devant le silence

Devant le silence

La fusion des corps


Le jour devient plus clair à mesure qu’il s’épanche sous le seuil vespéral . Il y a des frissons dans les ombres de toute matière et nous croyons ainsi donner la forme des déchéances de l’espace. Faut-il jumeler le rayon de toutes les argenteries pour que pénètre le corps vers sa dématérialisation?
Paris est une acropole de destinées, la ville des transformations somatiques. Bien que toutes les effusions matricielles soient exogènes aux lieux de nos transmutations, les endroits primitifs ne sont pas seuls à conserver l’apanage de nos origines passionnelles. Il est nécessaire de considerer les principes de splendeurs coordonnées. Les courbes sont les particules prototypes à la perception exhaustive, la fusion primitive de celles-ci détient le fondement universel de l’insupportable état somatique et charnel de l’individu. Nous devons ainsi nous répandre dans le monde. La forme matériel est un cristal invisible immuable et nous donnons aux courbes un relief singulier lorsque notre nébuleuse s’enfonce dans la profondeur du réel. La révélation de configurations tangibles se fait au travers du prisme céleste. Le pouvoir d’une personne à répandre son spectre dans le système s’efface à mesure qu’il s’emplit des unités de lumière, voila pourquoi nous devons tous progresser vers un idéal de possibles éternel.

Ambrosia

Ambrosia

au coeur du faisceau


Comment concevoir un réel coordonné derrière notre propre corps. La seule preuve palpable de notre existence est celle des reflets sensuelles de l’antimonde. En outre l’appréhension d’une réalité incompressible nous donne la possibilité de se voir ainsi, les reflets inconstants rayonnant de la ténèbre métaphysique. Nous entendons choir dans une formes données qui devient celles des séparations de nos propres unités, nous solidifions l‘immersion en détruisant les sources du réel. Répandre les accès terrestres sur le sol de nos inclinations est la faveur gracieuse à se perdre dans les mirages érotiques. La naissance est un phénoménal compact d’immersion et nous décidons d’étirer l’interstice des correspondances au réel à mesure que nous nous replions sur notre propre frontière. L’une des sources de l’enfer réside au cœur de l’harmonie uniforme. Il nous faut ainsi cesser de désirer toute la souvenance de l’illumination pour déformer réellement les ordres du temps: nous pensons parvenir aux diversions de l’unité.

Insomnie


Insomnie


Sœurs paupières une ombre à minuit
Gorge invisible s’ouvre en couleur
Chimères esseulées que la peine alanguit
Saignée d’amour sur le drap de l’horreur

Ta poterne de lumière que j’enferme
Dans le creux corps de mon germe
Les sondes capiteuses, l’onde limpide
Quand l’angoisse se voile intrépide

Voyez la blancheur aguicheuse
Que le blanc soleil dévore
Sur la pulpe goyave de ses lèvres pulpeuses
Coulait le miracle de mort

Le monde est violent

Le monde est violent

Antiunivers


L’anti univers est indicible et pour peu qu’il soit possible d‘en décrire une maigre parcelle la notion de l‘hallucination spéculative est quasiment impraticable. Un spectre de concordance entre le ciel rubescent des littoraux du Sud et l’envolé de l’électron sur la nuit noir du Pacifique tout entier, les enjeux du phénomène de grâce sont riches et luxuriant. Les premiers parages de l’anti univers pourront être perçus dans la ligature des splendeurs coordonnées. L’observation de l’invisible peut être blessante ou affreuse si elle ne correspond pas conditions de premier vertige: il est de fait nécessaire d’aller au devant de son étourdissement, d’enjamber la vitesse de nos déplacement dans le solide uniforme. La véritable beauté réside dans les transitions de l’harmonie organique. Quelle est la nature des constituantes du phénomène de splendeur? N’y a-t-il pas dans les courbes de la nature les mandements de l’affable plongeons dans les amplitudes de l‘horizon? Nous ne pouvons fixer une beauté, toutes les voutes sont celles des lumières que nous ne pouvons jamais regarder. Sans doute une appréhension des totalités d’anti univers est elle une première limite de l’infini spatial, une entaille dans l’espace-temps qui rompt les secrets physiques de la marge indéfini de l’univers. Pour ainsi dire une forme de réalité est présente dans les affluences de matières lorsque nous plongeons le regard dans la transversalité du système. Nous nous immisçons dès à présent dans cet électrique éternel et ouvrons vers vous le templier des mondes, nous, les enfants du soleil dans la ténèbre étoilé.

Liturgies de l'amour

Liturgies de l'amour

saisons


Le suicide n’est nullement un choix mais l’aboutissement exacerbé de certaines symbioses organiques,
a croire qu’il nous est difficile de transgresser la virilité de nos transferts psycho somatiques.
Sur le mode du pur esthète il nous est proprement impossible d’atteindre la joie dans un désordre du système. Deux lignes sont porteuses de l’espoir: la médiane de l’œil comme ligne des chimère et la parallèle de l‘émotion pure. Il faut bien penser que toutes organisation de matière sont adhérence plus ou moins marqué au dogme de l’expiration structurale. Aucune temporalité n’est mise en cause dans l’agencement des visions de l’œil sinon l’évolution créatrice des saisons régulière. Nous entamons un peu dans les fragrances du printemps porteur d’un espoir admirable. L’été est une braise du soleil dans laquelle nous cramons de sueurs et des puanteurs de nos transes libidineuses. Par delà les glaciations de l’hiver, ce sont les rousseurs de l’automne qui donnent à notre être cet amour insensé pour les effluves de la mort. Sans doute une rivière pourrait renaitre dans notre nature incertaine…Nous sommes certain qu’aucun instant n’existe devant lui. Seuls demeure et demeureront encore tout les diamants de nos rêve.

Expérience


Dans le tube de l’eau il y a l’inclination du monde
Comme le cœur au silence, l’onde velouté bascule les poignes
Dans les hydrauliques de lumières noirs

La salle est le violet des temps lascif
Pouvons nous sentir les crachins tièdes et le climax organique
Elle berce mon ciel en son sein humecté

Un glacial carrelage que le fluide traverse
L’anatomie rêveuse est couché sur cet esquif corollaire
Le rayon de cinabre pointe le revers de mes yeux

Je carresse le robinet comme elle devient brulante
Dans cet interstice de chromes atomiques et de lueurs nucléales
Je baise l’augure de mes moiteurs tranchantes

Comme ces aromes de glaces et de sang
Me repliant dans les petits coins du diaphane lumineux
Je détiens les sondes du brumisateur et le pointe

Soudain la langoureuse envolée de l’éclat
Le tiède liquides coule au creux de blancs plasmas de lumière
Les flux de l’amour portent en cimes l’écotone des cieux

Le grand miroir

Le grand miroir

De la chaire


La jouvencelle elle est fraîche comme sa chaire adipeuse
Dans la gencive où brillent les filons de la bave liquoreuse

Le creux d’une entaille fait briller le grenat du sang gluant
Plus j’expérimente l’arrière de son corps échauffant

Comme la veine coulante les coronaires de moiteurs
Rose fumante de sa graisse y enferme le gros cœur

Et je sens mon petit doigt devant le repos palpébrale
L’onde neurotrope fige de glace toutes les moiteurs viscérales

Les brulantes ardeurs! L’Hélios devant l’anatomie suante
Le suave sudoripare tient toutes les langueurs écrasante

Ma main sur ses belles hanches dessine les courbures de son corps
Et mon œil subodore un peu plus vers l’amour de sa mort

Songe


Je suis le géomètre, le rayon violet
Et le flash des tendresses vers le quantum des mondes
Je sens les angoisses thermiques monter au creuset
Jusqu’à l’implosion bénie et le chant des ondes

Je vois l’aube sur les grands états du fer saillant
Dans le rêve de surfaces, dans le rêve du creux
Dans la belle douceur noire du songe proéminent
Je retrouve les espaces qui n’ont point des milieux

Je rattrape dans le sein du corps les émissions
Les détresses statiques des grandes prémonitions
Tout mes morts son constantes et mes spins uniformes

La danse de matière crève toutes les clairs couleurs
Et ne dure alors que les sillons de douleurs
D’un corps expirant que la seule amour transforme

Une naissance de schizophrénie


Venez voir aussi les avenantes tombeuses
Oriflammes en sédition derrière l’anticrépuscule

Eden je sais, derrière le coteau bâti en poinçon
Des lumières éparses, polychromes fugitives vers la crypte

Insondable, la brèche vacillante affleure près de la rivière moite
Elle s’ouvre en couleurs, par dessus la cascade délicieuse

Un trône placide renferme les éclaires palpables, rayons de rêve
Ultraviolets, l’acide sur la perle, flash scintillant, miroir de carbone


Sainte vapeur dans l’arrière bleu, l’air brûlant sous les pores humides
Symbiose ultime, la matière ressuscite sous la Vierge infléchie

Martyrs, les agonies profanes, voyez le radian primitif et les sœurs enivrantes
Adriana, l’enfant du chœur, la mort et la cambrure éclatante !

Turquoise


Turquoises de passion, vous déliez la courbure de mes mains tremblantes
Quand la claire épiderme vient à effleurer le galbe de la gemme criante

Douces turquoises, amorphes solides, une douceur optique feutrée de rêve
Cristal, formes et reflets limpides quand rayonnent l’azur et la sève

Turquoises, bleu brille le ciel, pierres hydrauliques dans l’azurin du jour
Et le soir parfois, bleu de minuit où s’embrasent les points d’or de notre amour

Emeraude


Lumières vertes sont les reflets noirs comme une source éclairant l’épiderme
Des vielles gangues exultant la matière d’éclats, douce comme le germe

Les rayons de l’arche, sinoples aphrodisiaques, océan de roche chaude
Une condensation, vapeurs paradisiaques et les buées vertes de l’Emeraude

L’agonie du corps plus céleste encore que le vide, diaphane au relief de la mer
Surface chaotique figée comme un immense brin de pierre flottant dans les airs

Topaze


Le fer et le chrome dans l’auge du splendide silicate. Topaze, l’impériale incolore
Temple des reflets arborés, l’éclat vitreux et l’onde échancrée de tes rayons d’or

Amère cristal, tu subis les sanglots du jour, les ombres et lumières qui fusent à l’infini
Topaze dans l’espace sombre, cristallin je ressens tes courbures plongées dans la nuit

Le dernier flash, brillante étincelle, la pierre fendue prend son envol vers les cieux,
La roche fulmine et l’explosion détonne sous les caresses d’un rêve amoureux

Rubis



Le culte du bord douleur. Les affres de la forme brute, pierre fine, haut de terre
Les pores délicats baignent les brûlantes aguicheuses et le sanglot solitaire

La détresse et le songe, au centre de géode où le Rubis darde sa raie d’aquarelle
Embrasant l’éclats du minerai et le rayon clair sur l’aurore et le ciel

Adieu l’écarlate, mystère dans le carmin cristal, je vois mes yeux dans l’écornure
Je vois les enfants et la pierre broyée dans le sillon rouge de leurs blessures

L'amour nucléaire


Le cylindre de métal sous les voluptés ardentes
Transperçant, le trône abhorre des rayons sur la dorure
Les turbines sémillantes, le variateur affaiblit

Rampant en saccade, tutélaires les venelles opaques,
Je lève le regard sur le titane en jointure
Puisse les atomes convenir à ces douleurs séraphiques

L’union radiale presse dans les alliages de matière
Une émission d’onde, le seuil abolie sous la nuée placide
Un vortex de lumière, je la vois derrière l’ogive

Harassé, je progresse sur la passerelle en front d’oriel
Sous les câbles en charges, le dôme en fusion
La jeune fille en voûte quand le laser pointe vers le ciel

Sous les tropiques


Sur la plage, une atroce soirée de granules et de lueurs mortelles
Fusion sens, le paréo fluet vole sur le satin bleu

Mon amour tu vois ce soir, la lumière dérive sur le souple creux de l’eau noire
Le zéphyr sculpte des phases sur le corps et je tremble les reflets du miroir

Une dernière fois encore je vois ce soleil rougir d’amour, et je te vois aussi, mon cristal
Plus loin derrière l’onde, secrètement l’écume emperle l’azur et la bruine tropicale

La lueur de l’eau, puis tes mains dans l’espace embaumé, doucement caressent
Le corail Aphrodite et la façade blanche de la mer exaltée

Voyez le corps nu déployé dans cette ombre érotique, les tropismes, les vapeurs parfumées
Qui le soir convergent vers cette effroyable lune rose d’où rayonnent les acides de l’été

Océan


Tournons en arrondi près de la spiral des vents tièdes
Tombeau des airs marins et l’éclairages des mers d’amour

Quiconque dans sa vie recueille le moment suivant
Comme celui d’un aria souvenir des grands ciels perdus

Ce soir autant que l’éternel renonce sous les palais ombragé
La lumière déleste le sommeil des flots dans le seuil du crépuscule

Je pense à toi ma montagne tu me guettes innocente aux aguets de l’échine
Dans le concave de perles roses je verse toute l’horreur du songe amoureux

Je pars au devant de mon propre vertige vers cette persistante méta forme
Dans le pontil hydraulique de l’univers tendre comme un galet de sable

Eh la feuille sur la brise, ou circulez vous dans les filets de l‘arôme?
Saviez vous que je berce parfois dans mon seuil les petits aquilons léger?

Saviez vous que je suis celui qui meurt dans le suaire d’Eros emperlé?
À vous les différents corps je vous perçois comme océan de l’unité

Prière


Oh oui vous soulevez la crosse au sol amer
M’y léchant la mère zénith et le sexe affreux
Eh jure les viatiques du saint frère au désaveu
L’alliance promise et la supplique des yeux verts

Le nimbe, les auréoles, horreur corps de fruit
L’onction douce sur la nubile, mes fluides qu’elle enduit
Cierge, le vent cristal dans l’abside, mon érotique
Coupole et la lumière avale, chœur de cantique

Mon amour, et vitraux ils sont bons près du front
En corset de corail, ferventes ombres du long
Vois centre, eh vois cierge fragile sous la menace

Ta vie fronde et dans la paroisse sombre alors
Mon Dieu chrome, vous la voyez qu’elle est les trésors
Le visage de profil au centre de rosace !

Aquarelle


Les doux abords bleu de l’orbe altérable
Une fable
Consent le bleu bulbe de l’œil Terre malléable

La blonde paille dans la pagaille des ocres
L’océans
Baise les fragments coruscant et le corps éclatant


Comme les rouges érythèmes des corps agressifs
Mes prunelles
Veulent une douceur de mort dans un éclat d’arc en ciel

Les rutilances violacés dans les blancs aérées
Une fleure
Cherche la couleuvre d’amour dans un oculus de couleurs

La beauté il trouve dans le ciel


Et toutes les unités suçotent la sueur
Petit corps crevant l’amour
Le petit souffre, calciné de la douceur

Sa fragile main de sucre vacille au soleil
Le coureur des couleurs
Brandi son arc et les tendresses vermeilles

La cape étouffante au désespoir près des petits pieds
Eh prince ! N’ai pas peur !
Ton petit œil coulant sirote le noir des filles argentées

La pupille de grâce, la vitreuse affolante
Et elle t’aime le petit prince
Mon enfant de glace dans la nuit frétillante

Songe (reprise)


Dans les prébendes en corps, halo rose aura bleu
Une ivresse ténébreuse, une aria fugitive
La noirceur excellente et l’état dispendieux
D’un capiteux arôme dans la peau suspensive

Veule, faiblesse et viatique des passions olympiennes
Nous plongeons aujourd’hui vers cet autre corps
Que les vœux de la grande aurore prométhéenne
Tiennent au mal des courbes, les lignes du corridor

Poursuivons le feu dans cet opium d’errance
Nous n’arrenterons pas ainsi les luxuriances
Du saint démiurge en son nouvel œil camaïeux

Tombant en son suaire, l’infini a pour limite
Le cœur des sirènes que le mirage irrite
Je l’aime et je le mords suçant ces vers à Dieu

Demain



Hier déjà me trouvais-je au temple d’ivoire
Derrière le rempart astreignant les noirs machines
Vrombissaient au regard de l’aurore jusqu’au soir
Et jamais ne cessaient les assauts de turbine

Derrière l’appentis tenait le portail brulant
Que d’argent la colonnade faisait flamboyer
Coupole de métal et dans son sein avenant
Tenaient le bleu des flammes et la haute platée

Aujourd’hui encore tremble l’usine horrifiante
Dans cette brise de souffre et de vapeur puante
Je plonge ces mains dans le rachis de matière

Demain pourrais-je alors t’y sentir belle et claire
Dans la douceur paillette de mon blanc sanctuaire
Nous allumerons les grands faisceaux lumière
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